Chez Promus, nous proposons à nos clients des produits alimentaires frais, de qualité, et issus de production locale au maximum. Nous faisons au mieux mais nous savons qu’il nous reste beaucoup de travail.
Et parce que la transparence crée la confiance (c’est notre point numéro 2), nous centralisons ici nos 8 convictions, ce que nous faisons et ce qu’il nous reste à faire.
Nous sommes convaincus qu'il est indispensable de relocaliser l'approvisionnement de nos villes. Rapprocher les producteurs et les consommateurs permet de mieux se comprendre, de responsabiliser tout le monde pour améliorer le système alimentaire (voir notre manifesto).
Aujourd'hui, tous les produits essentiels pour nos clients ne sont pas disponibles localement (fromages ou citrons par exemple). Or, nos clients n'ont pas le temps pour multiplier leurs canaux d'approvisionnement.
C'est en permettant de tout commander (y compris certains produits spécifiques non locaux) en une fois et en mettant en avant les producteurs locaux, que nous enclenchons une dynamique locale. Aujourd’hui, plus de 95% des fruits et légumes que nous livrons ont parcouru moins de 100 kilomètres.
Nous livrons toujours au plus près. En fonction des retours de nos clients, nous travaillons avec nos producteurs pour relocaliser certaines productions.
Nous devons à nos clients d’honorer par tous les moyens la commande passée, ce qui peut nous amener à trouver les produits auprès de plusieurs producteurs. Dans ce cas, nous l’informerons en amont de la livraison du manque de produits locaux et nous trouverons ensemble la bonne solution.
Nous restons toujours transparents sur la provenance du produit.
L'agriculture est le deuxième poste d'émissions de gaz à effets de serre de la France. C'est également le premier secteur à ressentir les effets des changements climatiques. Nous avons fait le choix d’utiliser tous les moyens à notre disposition pour réduire au maximum l’impact écologique des nouveaux circuits de proximité alimentaires.
Nous privilégions autant que possible les produits issus d'exploitations biologiques ou dans une démarche agro-écologique aboutie. Nous ne pouvons pas aujourd'hui proposer des produits uniquement bio mais nous voulons aider ceux qui ne sont pas dans ces démarches à s’inscrire dans les nouvelles politiques agricoles, plus respectueuses de l’environnement.
Pour changer le système actuel et avoir un impact important, les produits que nous distribuons ne doivent pas être trop chers. D'un autre côté, nous ne pouvons pas construire un système durable sans nous assurer que les producteurs sont justement rémunérés pour leur travail.
Nous sommes persuadés que la démocratisation du local ne pourra se faire sans intermédiaire. Les producteurs et la restauration sont des mondes très différents, avec des contraintes souvent opposées (commande veille pour lendemain, rupture très compliquée à gérer…). Notre travail d’intermédiation permet à chacun de se concentrer sur son activité et de la développer.
Le transport en circuit-court peut émettre jusqu'à 10x plus de gaz à effets de serre que les circuits de distribution mondiaux. Chaque circuit de distribution est isolé, ce qui empêche d'optimiser les flux (beaucoup de camionnettes à moitié remplies à l'aller et complètement vides au retour).
Le métier de la distribution implique d’ajouter des sur emballages, essentiellement pour des raisons de sécurité alimentaire et de garantie de maintien des produits pendant le transport. Même si ces emballages sont nécessaires, il faut les limiter au maximum.
Nous sommes persuadés que les valeurs et les prix ne sont pas suffisants pour changer le système. La qualité doit impérativement être au rendez-vous pour fidéliser nos clients ayant fait un premier pas vers le local.